Culture
Acceuil/Bejaia/Culture

Accueil Historique Culture Vacances Musique Diaporama

Présentation :
Les habitants de Bejaia, sont des kabyles qui font partie des berberes (Imazighen). Leur langue c'est le kabyle (Taqvaylith), est une varieté du berbere (Tamazight).
             Cotumes et traditions:
Tafsut: chez les imazighen le printemps (Tafsut), est sans doute la saison la mieu étudiée, la plus riche par ses variations méteorologiques capricieuses. il est de cotume d'accueillir le printemps avec l'étonnement et la joie qui marquent toutes les naissances. Aussi ils organisent pour la circonstance un diner spécial. Une tradition qui devebue une journée de résistence aprés le deroulemnt de plusieurs évenemnts

Yennayer:
la fête de yennayer est le 1 janvier de l'année julienne correspondant au 12 janvier du calendrier grégorien. Donc c'est une fête nationale en celebrant le nouvel an, qui revient jusqu'au 951 avant Jesus-Christ du calendrier grégorien, correspond a un movement politique de portée incommensurable pour les Imazighen.

Tiwizi (touiza):
c'est le volontariat de solidarité des vilageois en kabylie, lors de la cueillette des olives, rammassage du blé, et tous les grands chantiers.


 
Dans cet partie aussi on s'interessera sur les personnes qui ont vraiment participés pour que la culture Kabyle; Amazigh, voit le jour. Et dont on rend hommage a tous les martyrs de la cause berbere, écrivain; poete; humouristes...


Ecrivains:

Tahar Djaout  
                   

Tahar Djaout est né le 11 janvier 1954 à Oulkhou (Ighil Ibahriyen) près d'Azeffoun en Kabylie.En 1970 sa nouvelle Les insoumis reçoit une mention au Concours littéraire « Zone des tempêtes ». Il achève ses études l'année suivante au Lycée Okba d’Alger et obtient en 1974 une licence de mathématiques à l’Université d’Alger, où il s’est lié avec le poète Hamid Tibouchi.
Tahar Djaout écrit ses premières critiques pour le quotidien El Moudjahid, collabore régulièrement en 1976 et 1977 au supplément El Moudjahid Culturel puis, libéré en 1979 de ses obligations militaires, reprend ses chroniques dans El Moudjahid.

Responsable de 1980 à 1984 de la rubrique culturelle de l’hebdomadaire Algérie-Actualité, il y publie de nombreux articles sur les peintres et sculpteurs (Baya, Mohammed Khadda, Denis Martinez, Hamid Tibouchi, Mohamed Demagh) comme sur les écrivains algériens de langue française dont les noms et les œuvres se trouvent alors occultés, notamment Jean Amrouche, Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Mohammed Dib, Rachid Bey, Jean Sénac, Bachir Hadj Ali, Hamid Tibouchi, Messaour Boulanouar, Youcef Sebti, Kamel Bencheikh, Abdelhamid Laghouati, Malek Alloula, Nabile Farès...

Kateb Yacine

Né à Constantine le 6 août 1929. Son père est oukil judiciaire et apôtre de la double-culture. Ecole coranique et école française. Expulsé du lycée à Sétif après la manifestation du 8 mai 1945. 1948-1950: reporté à "Alger républicain". Voyage en Orient. Il vient en France en 1951, puis voyage pendant la guerre. Membre du PCA .Prix Jean Amrouche en 1963. Il retourne alors en Algérie où il continue d’écrire. Voyages en URSS et Hanoï. Directeur du théâtre de Bel-Abbès. Meurt à Grenoble des suites d'une leucémie le 28 octobre 1989. Auteur du titre célèbre « Nedjma ». (Source: Jean Déjeux).

Taos Amrouche

Marguerite-Taos Amrouche est une femme de lettres algérienne francophone et une chanteuse berbérophone. Elle est née le 4 mars 1913 à Ighil Ali en Petite Kabylie (Algérie), Taos, sœur de Jean Amrouche est la première femme algérienne romancière, avec Jacinthe noire, publié en 1947 morte le 2 avril 1976 à Saint-Michel L’observatoire en France.

Mouloud Feraoun

Mouloud Feraoun est un écrivain kabyle algérien d'expression française né le 8 mars 1913 à Tizi Hibel en haute Kabylie (Algérie) et victime à Alger le 15 mars 1962, avec cinq de ses collègues inspecteurs de l'Education Nationale, de l'assassinat de Château-Royal.

Élève de l'école normale de la Bouzareah (Alger), il enseigne durant plusieurs années comme instituteur, directeur d'école et de cours complémentaire, avant d'être nommé inspecteur des centres sociaux. Feraoun commence à écrire en 1934 son premier roman, Le fils du pauvre. L'ouvrage, salué par la critique obtient le Grand prix de la ville d'Alger. L'écrivain est abattu le 15 mars 1962 à Alger, à quatre jours seulement du cessez-le-feu.

Mouloud Mammeri

Né en 1917 à Taourit-Mimoun en grande Kabylie. Adolescence au Maroc chez son oncle. Après avoir commencé le lycée à Alger, il est accepté à Louis le Grand. Participe à la Seconde guerre mondiale. Professeur de Lettres à Médéa puis à Ben Aknoun. Pendant la guerre d'Algérie il part pour le Maroc puis rentre en 1962. Professeur à l'université d'Alger et directeur du Centre de Recherches anthropologiques, préhistoriques et ethnographiques jusqu'en 1980. Meurt en 1989 dans un accident de voiture entre le Maroc et l'Algérie.

Auteur de "La Colline oubliée" », "Le Sommeil du juste", "L’Opium et le bâton", "La Traversée".

Jean Amrouche

Né en 1906 à Ighil Ali, en Algérie, dans une famille kabyle de la vallée de la Soummam, Jean El-Mouhoub Amrouche a passé sa jeunesse à Tunis. Sa famille s'est convertie au catholicisme et a adopté la langue française, langue qui sera celle du poète.
Parmi ses publications: Centdres(Mirages,Tunis,1934, L'harmattan,1983); Etoile Secrete,cahiers de barbarie,Tunis,1937,l'Harmattan,1983;
Chants Berberes de Kabylie; L'Eternel  Jugurtha

Humouistes:
Fellag
voir la video

Mohand Said Fellag, né en 1950 à Azeffoun Tizi Ouzou en Algerie (Kabylie), est un comédien, écrivain et humoriste Algérien. Il entre dans l'Ecole d'art dramatique d'Alger en 1968 et y reste quatre ans avant d'évoluer dans plusieurs théâtres en Algérie. De 1978 à 1985, il participe à plusieurs expériences théâtrales et retourne en Algérie, en 1985 pour être engagé par le Théâtre national algérien et interpréter le rôle principal dans L'Art de la comédie d'Eduardo De Filippo. En 1998, il reçoit le Prix du syndicat de la critique, le Prix Raymond Devos en 2003 et le Prix de la SACD de la Francophonie.


Malek bouguermouh

Natif d’Ighzer Amokrane le 8 février 1946, Bouguermouh évoluera très jeune dans un environnement où prédominent l’art et le savoir. Dès 1968, il entame à Moscou des études dans un institut d’arts dramatiques, le Gîtes, en l’occurrence, où enseignait à l’époque le metteur en scènes soviétique Gontcharov. En 1974, c’est le retour au bercail, Malek arrive à Alger avec des rêves fous et des projets ambitieux. Malek Bouguermouh trouva la mort dans un accident de la route près d’El Kseur, le 10 novembre 1989


Mohia


Mohand Ouyahia, ou encore Mohia, est décédé le 7 décembre 2004 d’une tumeur au cerveau, dans la clinique parisienne Jeanne Garnier. Né Abdallah Mohia, il était âgé de 54 ans. Enseignant les mathématiques, Mohand Ouyahia a longtemps tenu un commerce d’épicerie à Paris. Il est surtout connu pour avoir traduit, vers le berbère, de la poésie, des nouvelles, des contes, des proverbes et une vingtaine de pièces de théâtre pour la plupart inédits.